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Le collectif franco-belge de professionnels de l'enfance (médecins, psychologues, enseignants, universitaires) de l'Observatoire de la Petite Sirène a pris l'initiative de publier dans la presse de plusieurs pays d'Europe un manifeste afin d'alerter le grand public sur la nécessité d'avoir accès à une information impartiale dans les médias et les institutions publiques sur le « changement de genre » chez les mineurs (la « dysphorie de genre » est le sentiment ou la souffrance qui peuvent être exprimés par des personnes dont l'identité de genre ne correspond pas à leur sexe biologique et qui souhaitent, pour certains, changer de genre en effectuant une transition sociale et éventuellement médicale à un âge trop précoce).
En créant l'Observatoire des discours idéologiques sur l'enfant et l...
La société paye aujourd’hui l’écot du laxisme politique et de celui parental qui se fiche de nos jours de l'importance de faire évoluer leurs enfants sous le profil culturel et éducatif, comme complément de l’instruction pédagogique des sciences qu’offrent les institutions scolaires, d’une part.
Par ailleurs, l’absence des mesures qui d’antan valorisaient la déontologie et éthique professionnelle des enseignants et le respect de leur mission de la part de toute la société, ont porté à une décadence de la moralité sociétale.
Tout comportement antithétique à une vie civile et civique correcte était sanctionné, à l’école comme en famille, ce qui déterminait, généralement, une exemplarité comportementale.
Le concours de ces activités, complétées par des mesures exemplaires, consolidaient ainsi la prise de conscience d’une indispensable rigueur et de responsabilité sociale par les nouvelles générations.
Lorsque ces fondements déterminants de la vie s’affaiblissent, en présence d’une faible conscience que l’atteinte de tout objectif nécessite des sacrifices, les nouvelles générations s’adonnent volontiers à toutes les abstractions ou fantaisies qui leur sont inculquées. Puisque de nos jours la télématique semble se substituer au cerveau passif des jeunes. Il est donc naturel que ces jeunes aillent contre nature, destinés à former la souche de la population moins favorisée économiquement du futur.
Heureusement qu'on rencontre parfois des personnes qui argumentent de façon étayée des "contre-feu", dont Madame Badinter ici et ces 140 scientifiques et intellectuels. Espérons qu'ils soit lus et compris.
Tout mon soutien sur leur démarche, la dictature de minorité devient étouffante.
On cite rarement une cause universelle de toutes difficultés à vivre, toutes dérives. C'est la fréquence de la mauvaise santé mentale acquise pendant la gestation et la petite enfance. Un cerveau qui s'est construit dans un milieu inadéquat ressemble à une machine montée à l'envers ou autre mauvaise pratique : ça ne marche pas bien, et il y a peu d'améliorations à espérer. Le mal-être des jeunes candidats au changement, t de sexe ou autres dérives provient presque toujours de malformations acquises pendant la petite enfance. La société actuelle a sacrifié les enfants, en partie par obligation (pas le temps) et en partie pour préserver le confort des adultes (crèche dès le berceau, école maternelle, déficit grave de présence et d'attentions parentales, perte d'un parent, troubles de l'attachement etc. )